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Sécurité numérique
L’addiction aux écrans est une dépendance excessive aux appareils électroniques comme les téléphones, les tablettes et les ordinateurs. Cette dépendance affecte ta vie sociale, ta santé et tes études.
La captologie (en anglais, Computers As Persuasive Technologies) est l’étude des technologies numériques en tant qu’outils modifiant nos pensées et nos comportements. Le concept a évolué pour décrire et dénoncer les techniques mises en œuvre dans les outils numériques pour capter sciemment l’attention des utilisateurs jusqu’à les rendre addicts. Exemple : le système de notification sur les applications sur smartphone qui incite à les consulter ; les Likes (combien je vais gagner de Likes avec cette photo ?)…
En France, les sites pornographiques sont interdits aux moins de 18 ans.
Le happy slapping ou vidéolynchage ou vidéoagression est une pratique consistant à filmer l’agression physique d’une personne à l’aide d’un téléphone portable. Les séquences filmées mettent en scène un agresseur ou un groupe d’agresseurs attaquant par surprise une victime, généralement seule, sans autre motivation que celle de « s’amuser » en frappant quelqu’un. La scène est ensuite diffusée sur internet. La loi sur la délinquance du 5 mars 2007 prévoit de lourdes sanctions contre le happy slapping. La peine prévue peut aller jusqu’à 5 ans de prison et 75 000 euros d’amende.
En France, il est interdit de créer son compte sur un réseau social avant 13 ans. Pour les 13-14 ans, le consentement des parents est requis conjointement à celui du mineur. Les adolescents âgés de 15 ans et plus peuvent créer seuls leurs comptes sur les réseaux sociaux, comme un majeur.
La signalétique PEGI (en anglais, Pan European Game Information) est une classification européenne des jeux vidéo par âge, que l’on retrouve sur chaque emballage produit. Les pictogrammes PEGI apparaissent sur le devant et au dos de l’emballage et indiquent l’une des classes d’âge suivantes : 3, 7, 12, 16 et 18. Ils donnent une indication fiable du caractère adapté du contenu du jeu en termes de protection des mineurs, et non sur le niveau de difficulté du jeu.
Toutes les infos pratiques sur le contrôle parental sont données sur la plateforme « Je protège mon enfant », une action commune des pouvoirs publics, d’associations de soutien à la parentalité et de protection de l’enfance, et d’entreprises du numérique.
Le body shaming définit l’emploi d’un langage violent pour humilier et se moquer du corps d’une personne, qu’elle soit connue ou non. Traduit en français par la « honte du corps », ce phénomène touche en grande partie les réseaux sociaux.
Le cyberharcèlement consiste en des agissements en ligne malveillants commis de façon répétée à l’encontre d’une personne. Ils peuvent être le fait d’une seule personne ou de plusieurs individus et se dérouler sur les réseaux sociaux, messageries, forums, blogs, etc.
Un nude est une photo de soi-même qu’on prend avec son smartphone, en étant nu ou partiellement dénudé. Autrement dit, c’est un selfie nu.
C’est le nom du programme national de lutte contre le harcèlement à l’école. Il est structuré autour de 8 piliers :
1 – Mesurer le climat scolaire.
2 – Prévenir les phénomènes de harcèlement.
3 – Former une communauté protectrice de professionnels et de personnels pour les élèves.
4 – Intervenir efficacement sur les situations de harcèlement.
5 – Associer les parents et les partenaires et communiquer sur le programme.
6 – Mobiliser les instances de démocratie scolaire (CVC, CVL) et le comité d’éducation à la santé, à la citoyenneté et à l’environnement.
7 – Suivre l’impact de ces actions.
8 – Mettre à disposition une plateforme dédiée aux ressources.
En savoir + : https://www.education.gouv.fr/non-au-harcelement/phare-un-programme-de-lutte-contre-le-harcelement-l-ecole-323435
– L’exposition à des contenus choquants (pornographie, violence, comportements dangereux…)
– La divulgation d’informations personnelles (paramètres de confidentialité…)
– Le cyberharcèlement (insultes, menaces, chantages à la webcam…)
– Les tentatives d’escroquerie, d’usurpation d’identité et le piratage de comptes
– La dépense d’argent involontaire dans des jeux
– La cyber dépendance : la consommation excessive de jeux vidéo, la surexposition aux écrans…
– La désinformation ou fake news
– Les cyberprédateurs, les mauvaises rencontres en ligne
Comment se protéger au mieux face aux risques numériques ? cybermalveillance.gouv.fr liste 10 bonnes pratiques essentielles à adopter pour assurer votre sécurité numérique.
Pour protéger les enfants des réseaux sociaux, la loi du 7 juillet 2023 instaure une majorité numérique à 15 ans pour s’inscrire sur les réseaux sociaux (les plateformes doivent mettre en place une solution technique). La loi contient aussi des dispositions pour mieux prévenir et poursuivre les délits en ligne, comme le cyberharcèlement.
https://www.vie-publique.fr/loi/288274-majorite-numerique-15-ans-reseaux-sociaux-loi-7-juillet-2023
L’addiction aux écrans est une dépendance excessive aux appareils électroniques comme les téléphones, les tablettes et les ordinateurs. Cette dépendance affecte ta vie sociale, ta santé et tes études.
La captologie (en anglais, Computers As Persuasive Technologies) est l’étude des technologies numériques en tant qu’outils modifiant nos pensées et nos comportements. Le concept a évolué pour décrire et dénoncer les techniques mises en œuvre dans les outils numériques pour capter sciemment l’attention des utilisateurs jusqu’à les rendre addicts. Exemple : le système de notification sur les applications sur smartphone qui incite à les consulter ; les Likes (combien je vais gagner de Likes avec cette photo ?)…
En France, les sites pornographiques sont interdits aux moins de 18 ans.
Le happy slapping ou vidéolynchage ou vidéoagression est une pratique consistant à filmer l’agression physique d’une personne à l’aide d’un téléphone portable. Les séquences filmées mettent en scène un agresseur ou un groupe d’agresseurs attaquant par surprise une victime, généralement seule, sans autre motivation que celle de « s’amuser » en frappant quelqu’un. La scène est ensuite diffusée sur Internet. La loi sur la délinquance du 5 mars 2007 prévoit de lourdes sanctions contre le happy slapping. La peine prévue peut aller jusqu’à 5 ans de prison et 75 000 euros d’amende.
En France, il est interdit de créer son compte sur un réseau social avant 13 ans. Pour les 13-14 ans, le consentement des parents est requis conjointement à celui du mineur. Les adolescents âgés de 15 ans et plus peuvent créer seuls leurs comptes sur les réseaux sociaux, comme un majeur.
La signalétique PEGI (en anglais, Pan European Game Information) est une classification européenne des jeux vidéo par âge, que l’on retrouve sur chaque emballage produit. Les pictogrammes PEGI apparaissent sur le devant et au dos de l’emballage et indiquent l’une des classes d’âge suivantes : 3, 7, 12, 16 et 18. Ils donnent une indication fiable du caractère adapté du contenu du jeu en termes de protection des mineurs, et non sur le niveau de difficulté du jeu.
https://pegi.info/frToutes les infos pratiques sur le contrôle parental sont données sur la plateforme “Je protège mon enfant”, une action commune des pouvoirs publics, d’associations de soutien à la parentalité et de protection de l’enfance, et d’entreprises du numérique.
Le body shaming définit l’emploi d’un langage violent pour humilier et se moquer du corps d’une personne, qu’elle soit connue ou non. Traduit en français par la « honte du corps », ce phénomène touche en grande partie les réseaux sociaux.
Le cyberharcèlement consiste en des agissements en ligne malveillants commis de façon répétée à l’encontre d’une personne. Ils peuvent être le fait d’une seule personne ou de plusieurs individus et se dérouler sur les réseaux sociaux, messageries, forums, blogs, etc.
Un nude est une photo de soi-même qu’on prend avec son smartphone, en étant nu ou partiellement dénudé. Autrement dit, c’est un selfie nu.
C’est le nom du programme national de lutte contre le harcèlement à l’école. Il est structuré autour de 8 piliers :
1 – Mesurer le climat scolaire.
2 – Prévenir les phénomènes de harcèlement.
3 – Former une communauté protectrice de professionnels et de personnels pour les élèves.
4 – Intervenir efficacement sur les situations de harcèlement.
5 – Associer les parents et les partenaires et communiquer sur le programme.
6 – Mobiliser les instances de démocratie scolaire (CVC, CVL) et le comité d’éducation à la santé, à la citoyenneté et à l’environnement.
7 – Suivre l’impact de ces actions.
8 – Mettre à disposition une plateforme dédiée aux ressources.
En savoir + : https://www.education.gouv.fr/non-au-harcelement/phare-un-programme-de-lutte-contre-le-harcelement-l-ecole-323435
– L’exposition à des contenus choquants (pornographie, violence, comportements dangereux…)
– La divulgation d’informations personnelles (paramètres de confidentialité…)
– Le cyberharcèlement (insultes, menaces, chantages à la webcam…)
– Les tentatives d’escroquerie, d’usurpation d’identité et le piratage de comptes
– La dépense d’argent involontaire dans des jeux
– La cyber dépendance : la consommation excessive de jeux vidéo, la surexposition aux écrans…
– La désinformation ou fake news
– Les cyberprédateurs, les mauvaises rencontres en ligne
Comment se protéger au mieux face aux risques numériques ? Cybermalveillance.gouv.fr liste 10 bonnes pratiques essentielles à adopter pour assurer votre sécurité numérique.
Pour protéger les enfants des réseaux sociaux, la loi du 7 juillet 2023 instaure une majorité numérique à 15 ans pour s’inscrire sur les réseaux sociaux (les plateformes doivent mettre en place une solution technique). La loi contient aussi des dispositions pour mieux prévenir et poursuivre les délits en ligne, comme le cyberharcèlement.
https://www.vie-publique.fr/loi/288274-majorite-numerique-15-ans-reseaux-sociaux-loi-7-juillet-2023